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Panama, un canal au cœur des amériques
5 mai 2009

Souvenir de mer de René Gaulme, marin du navire

Souvenir de mer de René Gaulme, marin du navire l'Orage.

Nous nous sommes présenté à l’écluse normalement, puis dans le dernier sas, nous sommes tombé en panne de barre, donc nous avons demandé un remorqueur que nous avons eu et qui s’est mis en pointe pour le reste de la traversé. Il y avait un lac après les écluses de l’entrée et alors là, l’histoire s’est corsé. Avec un seul remorqueur, l' Orage était incapable de le suivre en ligne droite donc le " cul " du bateau allait de gauche à droite  avec une bonne amplitude. Je peux vous dire que la forêt vierge, je l'ai vue de très près  (5 à panama0436 mètre peut-être moins), et c’est là que j'ai fais connaissance avec "le local à vélos", 2 vélos à couple et vas-y que je pédale 10° à droite,  10° à gauche. De plus il y faisait au moins 40 degré dans ce local. Mais cela, n’était pas fini, alors qu’on arrivait à la dernière écluses, toujours avec le remorqueurs devant, les porte s'ouvrèrent et là, stupeur !!! Dans la passe, il y avait déjà un tout petit raffio (par rapport à nous)  donc on s’est engagé dans la passe. Sans remorqueur à l’arrière, pour stopper, hein ? Je vous la pose la question. Nous avons failli manger le remorqueur devant nous, l’Orage à commencé alors à partir de travers (car il me semble que nous avions une panne machine aussi, donc qu’une hélice). Bref, j’ai su ce que voulait dire " les rats quittent le navire" en voyant les occupants du petit raffio s’empresser de quitter leur navire!!! Mais comme on dit « tout est bien qui fini bien », puisqu' il n'y a pas eu de casse, peut-être du coté de nos pédaleurs dans le local barre. Enfin, nous avons quitté Panama et décidé de faire relâche aux Galapagos.

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